Salon de l’Auto : « Ma mobilité, c’est ma liberté ! »
Jeudi dernier, j’assistais au Salon de l’Auto au 6e Forum européen de l’automobile. Au centre de cette journée de conférence et de débats, la mobilité urbaine de demain.
En effet, la manière de se déplacer en voiture demain n’aura plus rien à voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui. La digitalisation entraine déjà une nouvelle façon de penser la mobilité en voiture, en particulier dans les villes.
Comment l’industrie réagit-elle ? Les pouvoirs publics peuvent-ils équilibrer le besoin des villes ? Quelles mesures doivent-être prises ? Comment les nouveaux fournisseurs de mobilité peuvent-ils y contribuer ? Où le citoyen se situe-t-il dans tout cela ? Tant de questions auxquels différents intervenants ont tenté de répondre.
Quoiqu’en disent certains, la voiture ne disparaitra pas des villes dans le futur ! Tout d’abord parce que cela déconnecterait les Villes de leur périphérie. Cela contribuerait aussi à les rendre moins attractives et donc à les appauvrir !
En tant que libéral, je plaide pour que le citoyen puisse choisir la mobilité dont il a besoin. Il faut combiner plus intelligemment les différents modes de transport extra et intra-urbains, publics et individuels. Limiter la voiture, c’est limiter les possibilités de déplacement des citoyens et donc restreindre leur liberté
Les pouvoirs publics et les acteurs privés de la mobilité doivent développer une multi et intermodalité efficace, les villes doivent devenir des smart cities ambitieuses. Grâce aux nouvelles technologies, se déplacer mieux sera plus simple et l’impact négatif que peut avoir la voiture sera réduit.
« Ma mobilité, c’est ma liberté ! »